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16 avril 2011

consession de la ville de Biarritz, buvette

La Ville revoit le cahier des charges des concessions

Les 100 Marches cantonnées aux tapas fermeront à 23 heures. Au port des pêcheurs, une crampotte sera transformée en sandwicherie. Les concessions évoluent.

Jean-François Béraud désormais seul aux commandes, va continuer à veiller sur la destinée des 100 marches, le plus connu de tous les « spots branchés » de la Côte Atlantique pour les amateurs de tapas et d'apéros. Sur le balcon de la Côte des Basques, le sunset (coucher de soleil) est en effet le meilleur allié de cet établissement (sur la Côte d'Azur on dirait « paillote ») devenu depuis la fin des années 2000, un must.

De source sûre, la commission d'appel d'offres a reçu plusieurs dossiers de candidature à l'occasion du renouvellement de cette concession de la Ville de Biarritz, dont l'un où l'on retrouvait l'arrière du BOPB Ian Balshaw. Mais elle a privilégié la continuité et l'expérience, « comme c'est souvent le cas », souligne l'adjoint Vincent Dubecq.

Reste qu'à l'occasion de ce renouvellement, la Ville en a profité pour durcir le cahier des charges et les contraintes fixées aux 100 Marches. « Devant l'affluence certains soirs, nous étions préoccupés par les conditions de sécurité », a souligné Didier Borotra, lors du dernier conseil municipal.

« On était également en train de tourner du bar tapas au restaurant, dans des conditions d'hygiène et sanitaires qui pouvaient laisser à désirer », a encore ajouté le sénateur maire citant un chiffre qui donne le vertige : 3 500 tapas sont consommées certains soirs aux 100 Marches entre 18 heures et 23 heures.

« La Ville attentive »

Fermeture effective de l'établissement à 23 heures, restauration limitée à une activité de buvette, ouverture saisonnière du 1er avril au 31 octobre, conditions d'hygiène impératives de la préparation à la vente des denrées, périmètre de terrasse délimité… « La Ville sera très attentive au respect des règles », a ajouté Didier Borotra.

Une concession comme les 100 marches reverse 50 000 euros par an à la Ville. Mais d'autres ont des loyers plus modestes, adaptés à leur chiffre d'affaires (entre 7 et 10 %). Ce sera le cas de la crampotte n° 30 du Port des pêcheurs qui va passer de la vente de minéraux, une activité quasi confidentielle, à la vente de petits-déjeuners, sandwiches, goûters. C'est Cécile Franco-Fellous qui va développer ce concept.

À l'établissement des Bains de la Côte des Basques, Magnus Lund, flanker du BO va développer un surf-shop après une année d'observation du marché. Un contrat de 7 ans. Thomas Lièvremont après le départ de son associé Txiki, se retrouve seul aux manettes, dans le restaurant qui n'a pas encore trouvé sa vitesse de croisière.

Boulevard du général de Gaulle, la station Uvale a suscité bien des convoitises. C'est Charles Brothier qui a remporté le marché de ce kiosque buvette snack qui sera géré sous le signe du durable.

Sous le casino municipal, la Ville a également renouvelé la concession du surf shop actuellement en travaux. Une filiale à 100 % de Quiksilver, la SARL Cariboo prend la suite de la SARL Mana, gérée par l'ex-All Black Michael Clamp. L'école de surf Tropical Euskadi elle, continue sa propre vie.

article sudouest du O.Bonnefon du 15/04/11

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